Avec le management directif, participatif et délégatif, le management persuasif fait partie des 4 styles de gestion les plus populaires dans le monde. Il consiste, pour un manager, à persuader, à convaincre au lieu d’imposer ses idées, tout en poussant ses collaborateurs à se dépasser en permanence.
Management persuasif : définition
Également appelé informatif, le management persuasif, comme son nom le laisse clairement entendre, mise tout sur la capacité de persuasion du manager. Ainsi, pour atteindre les résultats escomptés de son équipe, tout en la poussant à se dépasser en permanence, celui-ci doit faire preuve d’une grande habileté du point de vue relationnel et en communication. Autrement dit, il doit faire montre de charisme et de leadership pour mener ses équipes à se surpasser. Pour y arriver, le management persuasif marque une rupture avec le management directif, en cela que l’information circule entre la hiérarchie et les collaborateurs, dans les deux sens. C’est ce qui permet de valoriser les collaborateurs, et d’ainsi leur faire sentir qu’ils font partie intégrante de l’entreprise. Par conséquent, ces derniers s’investissent beaucoup plus dans le travail, et sont encouragés à proposer des idées innovantes et productives.
La confiance, à la base du management persuasif
Pour obtenir les résultats escomptés, le management persuasif nécessite la mise en place d’une relation de confiance entre le manager et les collaborateurs. Car vous l’aurez compris, ce style de management laisse peu de place aux directives, mais fait plutôt la part belle à la proposition, à la motivation par l’implication des équipes. Autrement dit, le manager a suffisamment de crédit auprès des collaborateurs pour qu’ils le suivent en toute confiance. Ces derniers ont, d’autre part, le sentiment d’être écoutés et valorisés, ce qui impacte positivement leurs performances. Ils sont également encouragés à prendre l’initiative, mais cela requiert tout de même l’aval de leur manager.
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